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Références
 

Par les références bibliographiques et projectuelles présentées ci-dessous, vous trouverez les réflexions qui ont guidé notre démarche étudiante. Celles-ci vous renseignent sur ce qu'il est possible de construire, des projets qui visent à mieux vivre ensemble dans des territoires marqués par des problématiques proches de Bourg-Achard.

L’îlot jardins, mir architectes, Noisy-le-grand, 2018.

Programme:  32 logements en accession libre
Surface: 2100 m²

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"Les maisons mitoyennes se succèdent, tantôt collectives, tantôt individuelles, recouvertes de bardage bois de factures et de couleurs différentes. Quelques toits terrasses végétalisés viennent casser la régularité de la silhouette et renforcer la présence végétale. Le bois visible en façade est également présent dans la structure des bâtiments."

Résidence Gillain, Atelier Bettinger Desplanques, Beuzeville, 2018

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Construction de 15 logements répartis en 8 bâtiments neufs : 13 logements individuels groupés et 2 logements individuels ainsi que la rénovation de 2 bâtiments existants en locaux communs et stationnements. Bardage bois, centre-ville, les bâtis s'adaptent à la morphologie de l'existant dans des matériaux locaux.

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Un parcours habité, Thibaud Babled, Armand Nouvet, Marc Reynaud, 64 logements, Ilot de l'Arc de Triomphe, Saintes, 2005

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Un concept qui repose sur la volonté de conserver la valeur unitaire de l'ensemble de l'îlot principal, de densifier le coeur grâce à la réactivation d'un réseau de venelles, avec une alternance entre jardins et volumes bâtis. Ils surimposent une strate de construction nouvelle sur la structure urbaine préexistante.

A travers ce concept, ils apportent donc une valeur ajoutée par les espaces publics pour favoriser la vie sociale, source de revitalisation des quartiers existants plutôt que la qualité de l’architecture en elle-même. Ils développent un projet dans lequel est pensée de manière nouvelle la gradation entre privé et public dans un jeu d'ouverture de l'intérieur de l'immeuble vers l'espace public par paliers du plus intime au plus urbain.

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Objectif ZAN :

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"Ils ont longtemps été décriés (pour leur dépendance à la voiture, leur propension à surconsommer du foncier,…). Paradoxalement, ils n’ont encore été l’objet d’aucune politique publique nationale spécifique. Du côté des professionnels, peu d’architectes, urbanistes ou de paysagistes s’y sont intéressés et investis. Y habitent pourtant une fraction non négligeable de la population française (plus de 40%). « Ils », ce sont les espaces périurbains et ce qu’il est convenu d’appeler les « campagnes urbaines ». Les reproches qui leur sont adressés ne sont pas infondés, mais ne sauraient faire oublier cette autre réalité : ces mêmes espaces recèlent un potentiel insoupçonné (du moins pour ceux qui ne les fréquentent guère), en termes de développement économique, mais aussi de cadre de vie. Outre l’actualité relative à la « France des ronds-points » et à la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19, l’objectif ZAN (Zéro Artificialisation Nette) fixé par les pouvoirs publics, amène à les considérer avec plus d’attention. Et s’ils étaient non pas le problème, mais un début de réponse à bien des problèmes ?"

Trouble in Paradise, Rural Office

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En utilisant la Pologne comme cas d'étude, qui comprend 93% d'espace rural, Rural Office invite six équipes à répondre aux problématiques d'un futur précaire, d'un potentiel d'une vie à la campagne inexploité. L'échec perçu des habitats ruraux polonais est de refuser une existance sur des aménités communes, d'isoler les individus dans leurs propres logements. Dans un projet qui vise à penser la vie "ensemble" (Spolem en polonais), le studio interroge la division entre public et privé, examine comment les espaces partagés peuvent être restructurés.

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